Encore une formation: nous suivons une demi-journée de cours sur la VHF, c'est-à-dire la radio de bord. Honnêtement, j'ai trouvé ça barbant à mourir. Mais bon. Il faut ce qu'il faut! Ce papier est aussi essentiel pour la réussite de notre projet.
Malheureusement, notre skipper n'était pas disponible pour la semaine en bateau en Croatie. Tant pis. A la place, nous consacrons ce temps à étudier déjà un (tout petit) peu pour nos deux examens (permis côtier et VHF).
Le débat cata versus mono a repris, car notre budget est plus confortable que prévu. En fin d'année, nous pourrions certainement trouver un petit cata en bon état, comme un Lipari 41 par exemple, qui est en vente à Corfu. Rien qu'aller le voir serait déjà une magnifique aventure, surtout que je n'ai encore jamais eu l'occasion de mettre les pieds en Grèce. Ses avantages: plus stable, plus de lumière, plus d'espace de vie et certainement plus facile à supporter pour nos futurs invités. Cette discussion revient régulièrement et nous regardons quelques bateaux sur les sites de vente en ligne, pour se faire une idée. Le Janneau Sun Odyssey 54DS reste encore dans la course.
Nous avons envoyé nos deux premières offres. Nous étions super excités! Il s'agissait justement du Lipari 41 à Corfu et un Jeanneau Sun Odyssey 54DS situé près de Saint-Tropez. Que faire si nos deux offres étaient acceptées?
C'est aussi le mois où a germé l'idée de ce blog et la création de notre logo Loup de mer. Nous avons d'ailleurs tout de suite commandé 2 polos avec le logo brodé dessus. La classe internationale!
Autant je suis enthousiasmée par le projet, autant je reconnais que mon loup de mer est la véritable locomotive du projet. Et je l'en remercie.
LA nouvelle est tombée à la toute fin du mois: l'offre que nous avions faite pour le DS 54 basé à Port Grimaud (près de Saint-Tropez en France) a été acceptée. On n'en croit pas nos yeux. Reste plus qu'à aller le voir.
Vous avez dit restrictions? Contrôles frontières? Quarantaine? Couvre-feu? Test PCR? Qu'importe! Il nous faut le voir avant la grande migration touristique. Mercredi 30 juin soir, nos bagages sont bouclés à la hâte, jetés dans le coffre de la voiture et nous partons, excités comme des ados qui font le mur.
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